Cours de psychologie

Histoire de la psychologie clinique

  1. La psychologie clinique et la sciences moderne
  2. archéologie du soin
  3. la sciences moderne et ses pioniers
    1. Les pioniers
    2. Le fondateur de la science
    3. la médecine moderne
  4. Clinique médicale
    1. pionniers français :
    2. Pionniers allemands :
  5. Vers une autre clinique
  6. Conclusion sur l’histoire de la psychologie clinique
    1. 5.2 Des années 40 à 45 à la naissance de la psychologie clinique
      1. 5.2.1 -politique d’institutionnalisation de la santé psychique ( en particulier concernant les enfants )
      2. 5.2.2 daniel lagache
    2. 5.3 premiers psychologues
      1. 5.3.1 filière universitaire nait en 1947
      2. 5.3.1 procès de la psychanalyse
    3. 5.4 histoire ( dates )
    4. 5.5 psychologie clinique, qu’est ce?
    5. 5.6 commande sociale, réponse et actualité
      1. 5.6.1 commande contradictoire, manifeste, publique et singulière.
      2. 5.6.2 existe en trois registres, à niveau égal, tous bien si les trois coexistent.
      3. 5.6.3 le métier est il adapté au mond contemporain

La psychologie clinique et la sciences moderne

La psychologie n’et pas née de rien, elle procède de la tranformation ( achèvement ) de la rencontre entre la philosophie et les sciences modernes. ( clinique médicale ) La question de la science oriente la dfinition du travail de la psychologie et ses rapports aux autres domaines ( dt psychiatrie, sciences, philosophie etc ) Par opposition à la science moderne, la science antique est absée sur des mythes expliquant le cosmos. La raison ( logos ) a bouleversé ses savoirs, ( épistémé ) et explique le cosmos de façon rationelle, par la philosophie. Celle ci se partage entre le physique et le métaphisique. Dans notre société ccidentale, le christianisme est à la base des sciences à l’origine, et la science moderne découle de l’opposition de certains ( courageux ) penseur, tels que Galilée, Newton, Kepler et copernic. C’est Descartes qui marque le début effectif de la science moderne, elle aussi divisée en une part physique et une part métaphysique.
La psychologie est prise en charge par des philosophes Brentano ( empirique ) et Husert ( pure, transcendantale )
La psychologie clinique comprend un aspect de médecine,e t de soin.

archéologie du soin

La médecine existait bien avant les grecs anciens, mais sa systmisation en clinique rationnelle, méthodologique. Le soin ne commence pas avec la médecine, mais dans la suite d’une pratique plus ancienne. Le soin est une pratique universelle, il est spécifique dans le monde humain, mais existe aussi dans le monde animal.
La spécificité du soin chez l’homme repose dans le langage, le symbolique.
Il faut partir de la prématuration spécifique de la naissance ( l’enfant humain nait prématuré, c’est à dire il est incapable de subvenir à ses propres besoins dès la naissance t certains éléments physiques ne sont pas en place, la coordination de la motricité entre autre, l’alimentation autonome etc.

Cet inachèvement rent l’enfant dépendant de ses parents, et ce dernier nécéssite un temps très long de soin ( d’ « être élevé » ). La caractéristique humaine qui est le langage et le développement du soin dans un champ de langage a plusieurs conséquences :

La pratique du soin ne reste pas à l’état de pratique muette ( le faire est doublé de savoir faire, de théorie ) Il se consitue un corpus de savoir, des pratiqèues fondées, justifiées, orientées, éclairés par des savoirs rationnels.

Il existe deux types de avoirs :

la sciences moderne et ses pioniers

La science moderne est une condition de la psychologie clinique

Définition : pratique sociale visant à la production de conaisances certaines, dumoins vérifiées et vérifiables. Cette science vise à décrire, expliquer, prévoir et reproduire si possible ce dont elle cherche à rendre compte.

La science moderne ‘inscrit dans un projet de maitrise et de domination du monde ( de la nature et de tous les phénomènes investis comme champs de recherche ). On parle aussi de technoscience, la science étant indissociable de la technologie à partir de laquelle elle est conçue.
Telle qu’elle et issue de la psychique mathématisée ( galilée, newton ) cete science opère par réduction du complexe à quelque chose de mesurable, quantifiable, d’abord, puis calculable, prévisible, reproductible et manipulable à volonté.

Qu’en est il dès lors que l’objet de la science n’est plus l’objet inerte dont traitent les sciences naturelles mais le vivant, l’animal, le politique? ( aristote ) qu’en est il de l’homme?
Le sujet de la science moderne introduit une mutation dans le champ de la subjectivité. Les sujets humains ne sont plus les mêmes avant et après l’arrivée de la science moderne.

Les pioniers

La science moderne commence avec des savants caractérisés par le courage d’aller à l’encontre du dogme religieu, dans une culture dominée par elle, de mettre en cause le savoir accepté jusqu’alor comme vrai. Ces savats découvrent qu’il y a du réel echappant au savoir présenté à eux comme asuré, exhaustif, faisant autorité, garantis par les une autorité. La posture de ces savants était de ne pas reconaitre cette autorité, de ne pas prendre un concept à la lettre tant qu’il n’était pas démontré grâce à la raison, doutant ainsi de tout.
Tout avoir peut et doit etre nterrogé. Le vrai pour ces savants se confond non pas avec le révélé mais avec le vérifiable c’est à dire avec ce qui se démontre ( logque ) et qui fait concensus de savants étudiant un même objet en utilisant la même méthode.
Galilée considère que le livre de la nature est écrit en langage mathématique,et que par conséquen, le savant doit pour déchifrer la vérité, poser ses questions dans ce langage.

Le fondateur de la science

René Descartes était un scientifique et un hilosophe. L’histoire de la physique n’a pas retenu ses élaborations mais il reste un minent de la science.
Le discour sur la méthode.
Il s’est intérrogé sur ce qu’est la science et la façon de conduire sa rasion pour obtenir un savoir scientifique ( = certain ). il y part d’un constat : de tous les savoirs transmi par ses maitres, il n’est certain d’aucun losqu’il les envisage en dehors de la garantie conférée par le maitre. Contre cette idée il développe une posture critique. Il trouve le concept de se aser sur une simple garantie inacceptable et veut pouvoir recontruire lui même le savoir. Il a pour projet de substituer à la croyance une visée de certitude. La croyance laisse place au doute hyperbolique, méthodique.
Il établit ainsi l’expérience du cogito qui consiste à se défaire de toute croyance, idée, tradition, autorité pour parvenir à la certitude de la vérité. Le sujet qui fait la science ( parle, doute ), n’est pas assuré de ce qu’il perçoit.
Le cogito est une expérience mentale reproductible par tous. Cette expérience conduit à mettre à nu le seul fondement à partir duquel la cience peut s’élaborer indépendemment de la subjectivité.

Il faut distinguer le sujet qui pense du sujet démontré, produit par l’expérience comme fait le discours. Le sujet démontré est indépendant du sujet qui démontre, il ne porte auune trace de subjectivité. L’objectivité scientifique dépend de ce procédé, et le savoir n’et dit scientifique que pour cette raison, à cette condition. Dès lors qu’il est objectif, démarqué du sentiment de croyance etc. ce savoir est généralisable et tend à l’universalité, valant pour tous le objets du même type et acceptable par toutes les subjectivités.

la médecine moderne

L’avènement de la science modene renouvelle totalement la physique et les discours connexes. Ce bouleversement se retrouve dans les grandes caractéristiques de la science moderne. À côté de la médecine ancestrale, on assiste à la naissance d’une médecine expérimentale ( dont les acteur à retenir seraient Claude bernard, pasteur ) et d’une industrie parmaceutique liée au soin.
La formation de médecins sacifie tendanciellement l’art médical, la relaion clinique au profit de la formation scientifique et technique. On fait léconomie de l’échange avec le patient. On assiste a une hyperspécialisation du médecin, dû aux progrès fulgurants des connaisances et des appareillages. Il s’instaure un clivage entre la recherche cl_inique et la recherchefondamentale. Il s’en suit une mergeance de problèmes relatifs au statut et la repréentation du métier de médecin.

Clinique médicale

se définit par le dispositif de traitement, la méthode et les objetifs, par l’appareillage conceptuel induit à chaque niveau. Au sein du dispositif clinique, l’ine des incidences de la cience moderne consiste à sparer le psychique ( âme, humain ) du physique ( corps, nature ).

pionniers français :

( 1745 – 1826 ) philippe Pinel et Pusin ( son surveillant chef ) sont à l’origine de la « libération des fous » et du traitement moral des maladies mentales ( par opposition à un traitement médicammenteu )
( 1772 – 1840 ) etiennes Esquirol contribue à la psychopathologie : il est le premier à avoir considéré la folie comme un champ unitaire à côté de la médecine biologique ; champ dans lequel on peut discriminer unc ertain nombre d’étâts : la manie, ( mono~, hyppo~ ), la stupeur, les démences…
( 1825 – 1893 ) jean martin Charcot s’illustre grâce à la conception et mise en oeuvre de la méthode anatomo-clinique en neurologie et psychiatrie, permettant d’individualiser certaines scléroses et infections rhumatismales. Il est le premier à coniderer l’hystérie comme une nérose : un trouble mental du à des lésions fonctionelles ( par opposition à es lésions organiques organiques ). Cette hypothèse est à l’origine de conceptions élaborées plus tard par freud entre autre.

Pionniers allemands :

( 1826 – 1926 ) emil Kraepelin est aliéniste, il établit que le folie est une maladie, et est à l’origine du terme de psychose, dont ilétudie diverses formes ( paranoïa, psychose maniaco-dépressive en particulier )

Vers une autre clinique

Le champ de la psychopathologie est un champ hétérogène, investi à partir de la question de la place de la suffrance du sujet, le sort qui lui est réservé ( à la souffrance ). Cette interrogation a mené les cliniciens à réaliser des recueils de données ou des exemples caractéristiques ( paradygmes ), sur la base desquels il tente de dégager des catégories, des régularités, des structures, lois générales.

Selon les choix et perspectives, s’établit la multiplicité des concepts psychopathologiques. Les orientations se répartissent en deux groupes principaux : la détermination organique biologique et l’orientation psychologique. Plus tard émerge une orientation supplémentaire à partir d’élement socio-culturels.
Il s’agit là des trois grand modèles de psychopathologie renvoyant à des types de causalité de la folie différents : organogenèse, psychogenèse et sociogenèse.

Conclusion sur l’histoire de la psychologie clinique

La psychologie clinique est l’héritière de la rencontre concrète à l’université de la psychologie ( tron commun), de la psychiatrie, de la psychanalyse, de la philosophie.

Où en est la psychologie clo de nos jours? Que lui demande-t-on? Est elle adaptée au monde contemporain?

Anzieux est un personnage clé de la création du méteir de psychologue clinicien et de sa dotation d’un code de déontologie.

5.2 Des années 40 à 45 à la naissance de la psychologie clinique

5.2.1 -politique d’institutionnalisation de la santé psychique ( en particulier concernant les enfants )

Suite a la guerre, les troubles psychologiques augmentent en nombre, d’où le développement de la psychologie clinique.

5.2.2 daniel lagache

Psycologues, philosophes, psychiatres et psychanalystes sont rapatriés à clermont ferrand. Lagache, lui, a continué son travail durant la guerre de façon neutre. Pour lui, la psychanalyse n’est autre que l’analyse psychologique, l’étude de la personne globale à partir de ses conduites ( ce qui est en fait la définition de la psychologie clinique ). Il veut faire de la psychanalyse une part de la psychologie clinique, désurant constituer une unité.

Il ‘agit d’un contresens de la part de lagache, puisque Freud, lui, emprunte le mot analyse à la physique, et lui donne le sens de décomposition. De même, lagache déclare pouvoir imposer le traitement par la psychologie clinique en lui donnant comme buts de conseiller, éduqueer et gouverner, qui est vraie pour la clinique mais qu’il confère aussi à la psychanalyse. Freud lui, assure justement que ce sont les trois choses ipossibles à faire par son procédé.

Lagache établit une démarhe euristique ( pour bien chercher ) complétée par l’expérimental pour généraliser les résultats.

Après la guerre, il est nommé prof de psychologie ( car le seul à être présent ), pour créer une licence autonome de psychologie. Il doit ainsi former des praticiens pour faire face aux traumatismes de guerre. Le gouvernement généralise la licence, notemment à touloue ( où s’installent yankelevich, meyeron et malrieu ( mort en 96 ).

5.3 premiers psychologues

5.3.1 filière universitaire nait en 1947

Les psychologues cliniciens et psychanalystes, mais n’ont pas de statut de médecin. Nombre ‘entre eux revient de l’étranger après la guerre pour exercer.

5.3.1 procès de la psychanalyse

Mme madelaine william clarck, est attaquée pour pratique illégale de la médecine par l’ordre des médecins promu par pétain. En effet, la psychanalyse a pour but de soigner, à travers lesoin psychique, la psychothérapie. La psychanalyse quand à elle, ne cherche pa la supprésion des symptômes, mais veut donner la possibilité aux gens d’en tirer les csq et d’être (ou de devenir) ce qu’ils sont.

Ce proces pose une contradiciton à l’état, qui doit condamner un mouvement qu’il a lui même voulu promouvoir. L’état règle ce dilemme en autorisant les psychologues à travailler sous le contrôle d’un médecin. Les psychanalystes constituent des institutions de soins ( cpp : centre psycho pédagogiques ) où vont travailler les premiers psychologues cliniciens. ( G. mauro, juliette favez bouttonnier ; exemple toujours existant : le centre claude bernard, accueil pour enfance traumatiée etc. ). Suite au procès perdu de mme clarck et au décret, les cpp – cmpp ( m=médicaux ) – sont placés sous tutelle de la médecine ( dumoins dans la fonction publique pour ce qui est des psychanalytes ). les psychologues et psychothérapeuthes

5.4 histoire ( dates )

1937 : lagache crée une licence autonome de psychologie ( pas seulement clinique )

1947 : lagache est nommé à la sorbonne

1955 : lagache change de chaire et devient prof de psychopatho ( discipline considérée comme essentielle. ) il est remmplacé par Juliette favez en psychologie. Les branches généralement de la psychologie se diversifient

1958 retour de de gaulle aux affaires françaises ( jusqu’en 68 ). l’enseignement de la psychologie clinique est créé en 3eme cycle par favez

1967 favez propose de créer unc ertificat de psychologie clinique, (licence (4) ), ous pression de l’ordre des médecins elle n’est pas créée

1968, le ministre de l’education E. Frez promulue la loi, réforme les études, avec la création de la maitrise (4), la menace d’une plainte par l’ordre des médecins étant écarté grâce aux évènements de mai. Il crée des maitrises spécialisées en psychologie, avec certificat de psychologie clinique ( psychopatho ). il crée un diplôme universitaire ( pro ) en pycho clinique qui est généralisé à l’ensemble de la france.

1985 ( 25 juillet ) sous mitérand, promulgation de la loi sur la profession de psychologue ( et spécialités asociées ). le décret d’pplication date de 90-94, et incorpore une « clause du grand père »

2004 ( 19 jan ) loi de santé publique sur la règlementation de la psychothérapie. Le titre de psychothérapeuthe se demande, de droit sont autorisés à l’obtenir, les médecins, les psychologues titulaires d’un diplôme autorisant, les psychanalystes duement inscrits sur les listes de leurs association. Ceci participe de la confusion entre psychanalyse et psychothérapie.

À la fin des études on dépose son diplôme à la drass et on est inscrit sur les listes adelit ???

5.5 psychologie clinique, qu’est ce?

Il s’agit d’un patchwork théorique, rassemblant la psychopatho, la psychologie génétique, la biologie, les stats, la psychanalyse etc. )

La psychopatho, n’ayant aucune théorie pratique, se base sur des dsm ( liste de symptomes ). elle recherche un renouvellement en allant à la rencontre de la psychanalyse, et emprunte au psychologue sa rigueur.

La psychanalyse, outre le fait qu’elle a besoin du psychiatre pour pouvoir être exercée, a besoin de la psychologie pour diffuser son savoir ( à travers notemment de postes de prof )

La psychologie et clinique armée quant-à elle a aussi besoin de la psychatrie pour pouvoir être exercée; elle retrouve par ailleurs dans la psychanalyse son côté humain.

Le psychologue formé à l’université opère un traitement non médical.

5.6 commande sociale, réponse et actualité

5.6.1 commande contradictoire, manifeste, publique et singulière.

1/ elle huile les rouages de la société, contribuant à une meilleure connaissance du fonctionement psychique ; et en déduisant des modalités d’action pour réparer/ intervenir ( certains la voient comme un moyen de manipulre le monde ) intégrer, adapter, assimiler les individus dans le vivre ensemble, de garder les personnes incapables de vivre seules dans le champ social.

2/question personnelle, question éthique de la réponse.

5.6.2 existe en trois registres, à niveau égal, tous bien si les trois coexistent.

5.6.3 le métier est il adapté au mond contemporain

Pour répondre à cette question il faudrait pouvoir caractériser le lien social.

Deux traits dominent :

Si on examine les symptomes qui en ressortent, l’humain considère que l’objet est une part de soi. On est prêt à ture qulqu’un qui a éraflé sa voiture. La société de consommation part du principe que les mêmes objets peuvent compléter tous les sujets.

En signe de protestation à ce traitement généraliste, de monsieur tout le monde, certains refusent catégoriquement tout ce qui vient du marché ( c’est la dépression ) , d’autres y deviennent dépendants au contraire ( achats compulsifs ).

On voit aussi ce qu’on pourrait appeler une pathologie de l’ennui. La té prone une jouissance sans risques, aseptisée où il ne faut rien approcher de dangereux. Le résultat en est une recrudescence des conduites à risques ( saut en parachute des toits d’immeubles,sports extrêmes entre autre ).

Enfin, se pose la question du suicide, 1500 par an en france.